En de pareille circonstance, je parle moins en donnant le strict minimum d'information dont ont besoin les usagers. S'il faut absolument une longue explication, je redirige l'intéressé vers Yolande, ma collègue. Heureusement, ce ne sont pas des situations qui arrivent souvent avec moi
Si je ne suis pas de bon humeur j'essais d'être moins bavard. Lorsque vient un lecteur exigent il faut trouver un prétexe pour le diriger vers les autres collègues si c'est possible ou qu'il repasse demain. Il faut surtout éviter les discutions qui risquent d'empirer la situation.
ça ne m'arrive pas souvent mais si toutefois le cas m'est arrivé, je limiterai mes paroles. Comme je suis seule dans la bibliothèque, je suis obligée de parler avec lui mais avec moins d'explications. Je ferai tout quand même pour le satisfaire au moins à 50%.
je me suis tout le temps confronté à de tels cas. mais j'avoue sincèrement que c'est très compliqué car il est difficile de le cacher puisque votre mine vous trahit. le mieux, d'ailleurs ce que je fais moi,je parle peu (soit oui soit non aux questions posées), et si ce n'est pas de mon ressort je le dirige vers le collègue qui peut s'en occuper, ou si c'est dans mon cadre je me contente juste de servir la personne un point c'est tout. soit je feins d'être malade et là l'usager essayera de me demander peu de service.dans les cas j'avoue que c'est un problème qui trouve moins de solution d'un individu à un autre.c'est un point de vue personnel.
Il faut voir la question sous deux angles.En libre séance mon état d'humeur sera moins perceptible car les utilisateurs sont plutôt préoccupés par leur recherche. En séance encadrée, il faut mettre l'accent plus sur la pratique que la théorie. On évite ainsi de parler excéssivement.
5 commentaires:
En de pareille circonstance, je parle moins en donnant le strict minimum d'information dont ont besoin les usagers. S'il faut absolument une longue explication, je redirige l'intéressé vers Yolande, ma collègue. Heureusement, ce ne sont pas des situations qui arrivent souvent avec moi
Si je ne suis pas de bon humeur j'essais d'être moins bavard. Lorsque vient un lecteur exigent il faut trouver un prétexe pour le diriger vers les autres collègues si c'est possible ou qu'il repasse demain. Il faut surtout éviter les discutions qui risquent d'empirer la situation.
ça ne m'arrive pas souvent mais si toutefois le cas m'est arrivé, je limiterai mes paroles. Comme je suis seule dans la bibliothèque, je suis obligée de parler avec lui mais avec moins d'explications. Je ferai tout quand même pour le satisfaire au moins à 50%.
je me suis tout le temps confronté à de tels cas. mais j'avoue sincèrement que c'est très compliqué car il est difficile de le cacher puisque votre mine vous trahit. le mieux, d'ailleurs ce que je fais moi,je parle peu (soit oui soit non aux questions posées), et si ce n'est pas de mon ressort je le dirige vers le collègue qui peut s'en occuper, ou si c'est dans mon cadre je me contente juste de servir la personne un point c'est tout. soit je feins d'être malade et là l'usager essayera de me demander peu de service.dans les cas j'avoue que c'est un problème qui trouve moins de solution d'un individu à un autre.c'est un point de vue personnel.
Il faut voir la question sous deux angles.En libre séance mon état d'humeur sera moins perceptible car les utilisateurs sont plutôt préoccupés par leur recherche.
En séance encadrée, il faut mettre l'accent plus sur la pratique que la théorie. On évite ainsi de parler excéssivement.
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